LE BONHEUR DU PEUPLE PAR LE PEUPLE
UNE SIMPLE REFLEXION PERSONNELLE sept.-07
SEULS LES PEUPLES SONT SOUVERAINS
Nous sommes 66millions de français (ou êtres humains )représentés par un ou une personne ou individu homme ou femme
1 seul individu quel qu’il soit ne pourra jamais synthétiser la ou les volontés ou pensées de 66 millions de d’êtres vivants ou français.
Quelles solutions pour une meilleure synthèse des volontés des peuples qui selon moi sont
Les seules habilitées a décider pour eux-mêmes.
Comment faire pour que les aspirations de l’ensemble soient réellement prises en compte
Où soit la seule règle
Le peuple a trop longtemps souffert et souffre encore de ces TYRANS qu’ils soient pères mères CHEFS ROIS REINES SEIGNEURS PATRONS PRESIDENTS MINISTRES LEADERS MANAGERS etc….
Comment faire ???????
Que signifie être de DROITE GAUCHE EXTREME DROITE XTREME GAUCHE CENTRE POURQUOI PAS DU : BORD , D’EN HAUT, BAS ,COTE ETC ;;;;;;;
Absurde tout cela humainement
Il est temps d’arrêter ce cycle infernal il faut prôner et concrétiser le bonheur du peuple
Et surtout réaliser sa volonté collective
Coment faire ???????
Mon idée ???
L’être humain étant ce qu’il est : faillible manipulable corruptible etc… mon idée CENTRALE est le ROBOT programmable par le peuple
Ma logique linéaire
PEUPLE ———robot——individus politiques——-actions——objectif——-contrôle
Ma logique verticale
PEUPLE 66 millions de français
ROBOT ou ROBOTS programmé par le peuple et pour le peuple objectif bonheur du peuple
INDIVIDUS POLITIQUES élus par le peuple
ACTIONS mettre en place le programme des robots sous contrôle du peuple seul souverain
OBJECTF le bonheur et le bien être du peuple
CONTROLES – par le peuple seul qui programme ses volontés au robot (s)
quel menteur ce petit chef
il faut une riposte de masse a ce petit manipulateur des cerveaux
http://www.dailymotion.com/video/xhte9_lincroyable-sarkozy_news
PRIVATISATION DE EDF GDF MENSONGES DE « PETIT CHEF »
louise michel femme militante tenace et obstinee
bonsoir
Le mouvement socialiste est une longue chaine qui ne peut s’interrompre tant que le désordre de l’injustice demeure